
Keetje trottin
Keetje trottin, c’est la fraîcheur du regard d’une petite femme en devenir qui laisse une lueur d’espoir dans ce monde souvent fait de misère pour les petites gens de cette époque.
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Keetje trottin, c’est la fraîcheur du regard d’une petite femme en devenir qui laisse une lueur d’espoir dans ce monde souvent fait de misère pour les petites gens de cette époque.
Dans ce roman qui relate son enfance dans un quartier pauvre d’une commune de Vénétie, Francis Tessa évoque avec douceur et un brin de nostalgie les petits plaisirs de la vie quotidienne au-delà de la pauvreté et des bouleversements de l’époque.
Il se dégage de ce livre à la beauté sensible une mélancolie profonde. L’imaginaire poétique d’un écrivain majeur du surréalisme belge s’y révèle tout entier.
Enrôlé dans l’armée israélienne pendant la campagne libanaise de 1982, Aniel Mahasöhn déserte et croise la route d’une folle de guerre palestinienne qu’il se met à suivre.
Hubert Krains dépeint avec réalisme et sensibilité la vie rude des petites gens, leur courage face aux épreuves et leur résignation face à un destin implacable. Le Pain noir est un hommage poignant à ces existences oubliées, empreint de finesse et d’une profonde empathie.
Mortepire devient le théâtre où se dénouent les fils d’un passé enfoui, offrant au lecteur une plongée profonde dans l’âme tourmentée de l’héroïne, entre secrets de famille et recherche d’identité.
Loin de partager le regard méprisant de son milieu, Laurent Paridael veut vivre avec les voyous, non pas pour les sortir de leur condition d’origine, mais plutôt pour se retrouver au plus près d’une vérité sublime.
Le Risorgimiento, le fascisme, les années de plomb : chacune de ces trois périodes clés de l’histoire italienne sert de cadre à cette magnifique saga où les femmes cherchent à être heureuses et à rendre heureux, tandis que les hommes aspirent à conquérir le pouvoir et la gloire par la force, la ruse ou l’argent.
Aux amours tumultueuses se mêle l’évocation de l’enfance heureuse d’une petite fille au coeur d’un jardin-roi, au milieu des parfums de l’étang, des saveurs et des sensations.
Guldentop est le récit, capricieux et plein de charme, d’une initiation : celle d’un regard exercé à voir la part mystérieuse des choses.
De l’ascension fulgurante et inégalable d’un péquenaud de Tupelo à la mort précoce d’une superstar rongée par les adjuvants chimiques et transfigurée par la pression, Bye Bye Elvis se fait autant un roman de la dévoration que de l’adoration. En laissant planer le doute sur le devenir des idoles, Caroline De Mulder sème le trouble et nous rend captifs d’une narration double et hypnotique.
Dominique Rolin se fait l’ordonnatrice d’une orgie où morts et vivants, parents et enfants accomplissent les échanges qu’ils ont toujours refoulés.
Un matin de 1978, celle qui fut cette enfant se penche sur le parcours absurde et nécessaire qui conduisit un homme et une femme à lui donner le jour et mène à bien l’insolite biographie de ce qu’elle appelle son « avant-vie », éclairée de plein fouet par le spectre effrayant du mariage.
Un veuf découvre puis commente le journal intime de sa fille décédée deux ans auparavant. À travers trois carnets, la jeune femme de 23 ans raconte les dix derniers mois de sa vie, entre tragédie et intensité, entre monstruosité des hommes et amour fou, entre Guadalajara et Oaxaca. Cette histoire est aussi celle d’un pays, le Mexique, au moment où une de ses plus belles cités fomente la première révolution du XXIe siècle.
C’est qu’au moment même où il ôtait la vie à Valmont, Choderlos de Laclos coupait la parole à Mme de Merteuil: c’était mal la connaître. Muselée depuis son plus jeune âge, Mme de Merteuil n’en peut plus de se taire. Le temps du silence, de la honte et des bonnes manières est révolu ; l’heure est au scandale, à l’indécence et à la vérité.